"Dresser une table avec que du beau et du bon" c'est la ligne directrice d'@attable.world, le projet gourmand et joyeux d'Alice Bailly Garcia. Un programme alléchant, que nous a donné envie d'en savoir plus sur cette jeune maman, qui nous livre pour l'occasion une de ses recettes ! Rencontre.
Hello Alice, peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m'appelle Alice Bailly, j'ai 26 ans, je suis née et j'ai grandi à Paris. Je suis maman d'un petit garçon de 19 mois et je suis une entrepreneuse passionnée. En réalité, j'ai deux passions dans la vie qui sont la création et la cuisine et ces deux passions se mêlent et se mélangent souvent dans mon travail, et dans mon quotidien. Elles ont donné naissance à RÉUNI, une marque de vêtements, et à Attablé, un univers cuisine et arts de la table.
Tu es la maman d'un petit garçon, qu'est-ce que la maternité a changé dans ta vie ?
Je suis devenue maman assez jeune, à 24 ans, et je ne m’attendais pas à un tel changement dans ma vision du monde et de la vie. Devenir maman m’a rendue plus douce, plus patiente et m’a surtout appris à lâcher prise. L’arrivée de mon fils, et notre vie avec lui, me donne des grandes leçons d’humilité et de simplicité. Il est très sensible, toujours joyeux et s’émerveille de tout. Et pour lui, pas besoin que tout soit parfait. Je vois que tant que nous sommes ensemble et que nous rions, il est heureux. Il m’apprend que la maman parfaite est avant tout la maman heureuse qui trouve son équilibre entre sa famille, son travail et sa vie personnelle.
Tu as cofondé RÉUNI, une marque qui réinvente les codes de la mode, comment cela impacte-t-il tes choix de consommation pour ton fils (vêtements, food etc..) ?
En effet, avec RÉUNI, nous voulons créer une autre manière de créer et de consommer la mode avec un vestiaire intemporel, durable, distinctement unique et fait pour être vécu. Nous aimons beaucoup cette philosophie de s’entourer de peu mais de beau et de bon.
Alors pour nous et notre fils, je suis cet adage. À la maison, on prend le temps de cuisiner tous nos repas. Même si la flemme nous gagne, on cuisine toujours quelque chose, même si ce n’est qu’un oeuf au plat et une salade. Nous allons toujours chez nos commerçants de quartier qui sont très tournés "local" et "de saison" et qui ont de merveilleux produits. Pour le primeur c’est « Ô Divin », pour le fromage c’est « La Fromagerie des Buttes Chaumont » ou le boucher « Richard Pommiès ».
